1. Accepter trop rapidement l’offre de l’assurance
Les premières propositions des compagnies d’assurance sont presque toujours inférieures à ce que vous pourriez réellement obtenir.
Ne signez aucun accord sans avoir sollicité l’avis d’un expert indépendant et d’un avocat.
Un accompagnement juridique permet d’évaluer avec précision la juste estimation de votre préjudice.
2. Sous-estimer l’impact réel de l’accident
Les séquelles d’un accident ne sont pas toujours visibles immédiatement.
Ne minimisez jamais vos douleurs persistantes, vos incapacités physiques, ou vos troubles psychologiques.
Ces préjudices doivent être évalués par des experts et indemnisés à leur juste valeur. Une évaluation trop rapide ou partielle de votre état peut priver votre famille et vous-même de compensations financières essentielles à votre reconstruction.
3. Négliger certains préjudices
L’indemnisation ne concerne pas seulement les blessures corporelles apparentes.
Pensez également aux pertes financières passées, présentes ou futures : arrêt de travail, perte d’emploi, aménagement du logement, frais de véhicules adaptés, perte d’autonomie, voire échec scolaire pour un enfant.
Chaque aspect de votre vie affecté par l’accident mérite une réparation intégrale.
Seul un avocat maîtrisant la nomenclature Dintilhac saura prendre en compte l’ensemble de ces postes de préjudice.
4. Tarder à engager les démarches
Le droit à l’indemnisation est limité dans le temps.
Passé certains délais de prescription – parfois deux ans seulement après l’accident selon la situation – vous pourriez perdre définitivement votre droit d’agir en justice.
Il est donc essentiel d’agir rapidement, de réunir les certificats médicaux, rapports, expertises et témoignages nécessaires, et de vous faire assister par un professionnel.